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que faire au jardin....

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

L’hiver est installé, les jours sont courts. Le jardin semble endormi. Le jardinier est en effet peu sollicité en ces mois les plus froids de l’année, qui du reste, ne donnent guère envie de mettre le nez dehors…

Les travaux de jardinage à effectuer en janvier au jardin: taille des arbustes, arbres fruitiers, plantes vivaces et grimpantes, élagage des grands arbres, par exemple sont de nombreux travaux utiles en ce mois. De plus, l'entretien des machines et outils sont un mal nécessaire pour la saison à venir... 

Dix raisons de faire appel à un professionnel.

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

Dix raisons de faire appel à un professionnel.

Il existe principalement deux professionnels spécialisés dans le conseil aux propriétaires de jardin et la conception d’aménagements extérieurs: l’architecte-paysagiste et le jardinier-paysagiste. Le premier offre un catalogue de prestations comprenant l’étude du cas, le conseil, la conception et la direction des travaux. On peut lui demander une simple esquisse comme un projet détaillé comprenant tous les plans techniques. L’architecte-paysagiste travaille en bureau d’étude et ne réalise pas lui-même les travaux, mais si tel est votre souhait, il se charge de les mettre en oeuvre et de les diriger jusqu’à l’achèvement. Le jardinier-paysagiste, dans notre pays appelé plus souvent paysagiste, possède une entreprise qui réalise les travaux, et par la suite l’entretien selon le contrat que vous aurez avec lui. De plus en plus d’entreprises de paysagisme ont également un bureau d’étude qui assure la conception des jardins qu’ils réaliseront, après étude; discussion avec le client, etc.; vous

aurez donc affaire à la même entreprise d’un bout à l’autre de l’aventure. Les avantages de profiter de l’expérience d’un spécialiste sont nombreux. Il vous aide à établir un cahier des charges pour votre jardin et à penser à tout après une étude approfondie de votre propriété et de vos habitudes. Si vous n’avez jamais possédé de jardin, il peut être difficile pour vous de vous projeter dans le futur, et il le fera pour vous. Sa connaissance des travaux d’aménagement lui permet d’établir un budget précis, pour que vous n’ayez pas de mauvaises surprises; demander une étude à un professionnel a donc un coût, mais permet aussi de réaliser des économies, par exemple au niveau de l’entretien et du choix des matériaux. Sa présentation du projet sous forme de plans, de dessins et de photomontages vous permettra de vous faire une bonne idée du résultat final, et de lui apporter des corrections si nécessaire. Un spécialiste, en principe, évite les erreurs grossières qui posent beaucoup de problèmes à long terme: plantations d’espèces inappropriées, revêtements inadaptés aux conditions climatiques, etc.

Votre jardin aura donc une plus longue longévité.

Il connaît les textes de loi et sait ce qui est possible et ce qui ne l’est pas et les aménagements pour lesquels il est nécessaire de demander une autorisation. Pour les plantations comme pour les travaux plus importants tels que piscine, terrasse, barbecue, etc., il est capable de proposer différentes solutions avec leurs avantages et leurs inconvénients, et il possède les connaissances techniques pour vous les expliquer en détail.

Un professionnel du jardin a de bonnes idées, auxquelles on n’aurait jamais pensé soi-même; c’est ça, l’expérience! Il peut par exemple résoudre certains problèmes qui vous désespèrent, de vue, de bruit, de différences de niveaux, etc. Il est habitué à jongler avec ces contraintes, et peut intégrer des éléments existants pour les mettre en valeur sans forcément tout raser.

Chaque professionnel a ses astuces et sait où trouver le petit plus qui conviendra parfaitement à votre cas particulier. Il connaît les végétaux sur le bout des doigts sans avoir recours à des livres; il peut obtenir n’importe quel effet ou ambiance à l’aide de végétaux tout en les adaptant à la situation d’ensoleillement, sol, pluviométrie, etc. Il va également marier les plantes pour vous permettre d’avoir un beau jardin en toutes saisons; de plus il peut souvent obtenir des plantes que l’on ne trouve pas facilement en jardinerie. Le professionnel ne se contentera pas d’étudier votre petit espace; il prendra aussi en compte le paysage environnant et son histoire, les matériaux végétaux et minéraux qui le composent, pour intégrer votre espace vert dans son environnement.

Enfin, si la réalisation du jardin ne peut pas se faire par l’entreprise qui l’a conçu, le bureau d’étude se chargera de l’appel d’offre et du cahier de soumission.

mois de septembre, le retour de l'automne.

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

mois de septembre, le retour de l'automne.

Avec le retour de l’humidité nocturne et d’une relative fraîcheur, septembre sonne l’heure du renouveau au jardin. L’été s’achève et, désormais il est temps de récolter les fruits et les légumes de fin de saison. Le jardinier profite ainsi des dernières tomates gorgées de soleil, des pommes de terre et des carottes qui peuvent être arrachées pour rejoindre leur lieu d’hivernage, des raisins palpitants de sucre. Au verger, les prunes, les figues et les mûres annoncent de formidables confitures.

Septembre est aussi l’heure de penser à la mauvaise saison ! Alors que le jardin se vide peu à peu, dans le même temps, il ouvre grand ses sillons pour accueillir les prochaines plantations : oignons, épinards, poireaux, radis et navets d’hiver… Et pour anticiper sur le prochain printemps, les fleurs du jardin sont débarrassées de leurs graines (œillets d’inde, soucis, capucines, roses trémières). Ces graines seront gardées précieusement après séchage pour ragaillardir les allées dès les prochains beaux jours !

En attendant le doux moment de la renaissance du printemps, les fleurs de chrysanthèmes tâchent de leurs gros pompons les parterres en concurrence avec les asters. L’air doux ajoute aux charmes de la fin de saison estivale en proposant aux enfants quelques résurgences délicieuses de fraises avant le retour du brouillard et des pluies d’automne.

élaguer ou ne pas élaguer

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

Elagage : quand et comment élaguer les arbres d’ornement

Élagage ou taille : sachez faire la différence afin d’agir à bon escient, dans le respect des arbres et dans la mesure de vos capacités. Quand l’ampleur de la tâche vous dépasse, n’hésitez pas à contacter un profesionnel.

Une taille de formation permet parfois de conduire les jeunes arbres afin de les adapter à certaines contraintes.

Contrairement à la taille (d'une haie) l’élagage se rapporte plutôt à des arbres déjà grands ou destinés à le devenir, mais ne consiste pas forcément à couper de grosses branches ! Surtout, l’élagage n’est absolument pas nécessaire à la bonne santé d’un arbre. Il répond avant tout à nos propres besoins. On élague les arbres d’alignement en ville pour dégager les bâtiments bordant la rue ou empêcher les chutes de bois morts sur la voie publique. Dans un jardin privé, la plantation d’arbres trop vigoureux conduit à des soucis du même ordre, d’où l’importance de tenir compte de la taille adulte d’un sujet avant de le planter. C’est, hélas, quand il devient vraiment grand et beau que l’on en mesure soudain le danger, alors qu’il est devenu extrêmement difficile de l’élaguer sans lui enlever toute sa majesté.

Une taille de formation permet parfois de conduire les jeunes arbres afin de les adapter à certaines contraintes, en anticipant de cette façon les interventions qui devraient être réalisées sur les sujets adultes. C’est de loin la solution la moins traumatisante. Cependant, quand il est impératif d’élaguer un arbre âgé, acceptez l’idée qu’un bon professionnel opère en plusieurs fois, avec précaution, au lieu de rechercher une proposition à bas prix se soldant souvent par un véritable “massacre à la tronçonneuse”.

Pourquoi élaguer ?

Dans un petit jardin soigné, l'élagage que vous pouvez faire vous même consiste essentiellement à supprimer le bois mort, à alléger les ramures jugées trop touffues, à enlever des branches basses pour que les arbres ne génèrent pas trop d’ombre. Ce sont des opérations qu’il faut entreprendre sur des arbres encore jeunes et effectuer régulièrement pour n’avoir à couper que des branches de faible diamètre.
 
On n’intervient sur un grand arbre qu’en cas de danger, notamment quand des chutes de branches peuvent provoquer des dégâts comme lors de récentes tempêtes. Si vous redoutez ces chutes, sachez qu’un élagage intelligent permet de s’en prémunir. En outre, une telle taille est également nécessaire pour rééquilibrer la silhouette d’un sujet partiellement endommagé à la suite d’un coup de vent.

Quelle est la période idéale pour élaguer ?

Il est de tradition d’élaguer en automne, après la chute des feuilles, quand les arbres sont au repos, mais avant qu’il ne fasse trop froid et surtout qu’il ne gèle. Toutefois, on élague de plus en plus en fin de printemps et en été, parce qu’on s’est rendu compte que la cicatrisation était plus rapide à cette période. Mais, dans les régions froides, intervenez avant le mois d’août pour ne pas exposer au gel des repousses trop jeunes. Une autre mauvaise période se situe au début du printemps, lors de la montée de sève, car les coupes entraînent des écoulements très importants (bouleau, noyer, tilleul, érable).

Comment élaguer en respectant la croissance le l'arbre ?

Petit arbre deviendra grand... et parfois même très grand et large ! Un arbre s’élève par l’extrémité de ses branches, vers le haut mais aussi sur les côtés, plus ou moins selon les espèces, ce qui détermine différentes silhouettes : globuleuse pour le chêne ou très élancée pour le peuplier. De ce fait, une branche latérale demeure toujours à la même hauteur tandis qu’elle croît en longueur.
 
La croissance en hauteur est généralement rapide les premières années, puis ralentit progressivement jusqu’à une taille dite adulte. Branches et tronc continuent de grandir régulièrement en diamètre tout au long de la vie de l’arbre, s’épaississant un peu chaque année. En coupant un tronc ou une grosse branche, on peut compter les fameux cercles de croissance dus à la formation en alternance de bois de printemps et de bois d’été, plus serré. Les dimensions adultes et les vitesses moyennes de croissance étant assez bien connues, tenez-en compte.

Quand élaguer en urgence ?

• En cas de coup de vent, les branches mortes tombent en premier, d’où l’intérêt de les surveiller régulièrement et de les élaguer.

• En hiver, les persistants (cèdre, pin, magnolia) offrent plus de prise au vent, surtout dans des zones exposées aux bourrasques (bord de lac, sommet de colline). Ils sont naturellement plus vulnérables que les feuillus, dénudés à cette saison.

• Parmi les feuillus, les champions de vitesse de la croissance en hauteur fabriquent du bois moins résistant : robinier, saule, frêne, ailante, eucalyptus... à l’inverse du chêne, du charme, des arbres fruitiers, du buis.

• Les arbres sont fragilisés par des élagages sévères (étêtage, coupe de grosses sections), qui favorisent le développement rapide de branches mal ancrées sous l’écorce. Une branche ayant poussé naturellement est insérée jusqu’au milieu du tronc.

 

Pensez à déneiger les arbres et arbustes.

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

Faut-il retirer la neige sur les conifères et les arbustes ?

Le feuillage persistant des conifères retient bien la neige qui, lorsqu'elle est abondante, forme vite une couche épaisse et lourde. Cette charge importante est capable de courber les branches jusqu’à les briser, ou encore de déformer le tronc d’un jeune sujet ou d’une espèce en colonne.

Quand la neige reste longtemps sur l’arbre, de telles déformations peuvent subsister définitivement ou, en tout cas, mettre des mois à se corriger. L’intervention doit être rapide afin d’éviter que la neige, en gelant, ne devienne trop difficile à enlever ; ou pire, qu’elle soit suivie d’une pluie l’alourdissant encore davantage.

Déneiger dans le bon ordre

• Les conifères isolés peuvent être soulagés simplement en secouant leurs branches avec délicatesse. Attention ! Pensez bien à les dégager de bas en haut, même si la neige retombe sur les branches des étages inférieurs. Il faudra, certes, les secouer à nouveau, mais une opération contraire – du haut vers le bas – provoquerait des chutes importantes sur des branches déjà alourdies, ce qui risquerait de les casser.
• Sur une haie de conifères non taillés, procédez de la même manière et relevez tout doucement les branches basses qui ploient parfois jusqu’au sol sous le poids de la neige.
• Sur une haie taillée, enlevez la neige qui s’est accumulée sur toute la largeur supérieure à l’aide d’un balai-brosse. Tirez ou poussez afin de la faire tomber en paquet d’un côté ou de l’autre de la haie.

 

les travaux d'automne au jardin

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

les travaux d'automne au jardin

 L'hiver sera bientôt là"Les températures commencent à chuter et déjà les premiers signes de l'automne ne trompent pas. Les arbres se parent de leurs plus belles couleures entre jaune profond et rouge intense.

Au jardin, il est grand temps de préparer l'arrivée des premiers frimas. Les plantes d'intérieur sorties tout l'été ainsi que les plantes frileuses telles que les hibiscus retrouvent la douceur de la maison tandis que déjà le jardinier prépare le printemps en plantant les bulbes de la prochaine saison. Les plantes sensibles, tels que l'olivier ou encore les bananiers, seront soigneusement emballées dans un Agryl pour parer au froid de l'hiver. 

Au potager, il ne reste plus grand chose, les courges sont déjà ramassées pour la confection des veloutés et autre plats, les dernières tomates sont récoltées, les cardons sont blanchis et les légumes-racines ne vont pas tarder à passer à la casserole!

Au verger, pommes, poires et derniers raisins s'amoncellent dans les paniers tandis que la saison des châtaignes, noix et noisettes bat sont plein.

Les kiwis sont aussi à rentrer après la première gelée, qui les rendras plus tendres, les dernières framboises qui sont les derniers restes de la belle saison sont récoltées.

Les piscines sont bâchées contre les feuilles et s'endorment pour la période hivernale.

Une dernière tonte du gazon est à effectuer et le jardin pourra doucement aborder le froid glacial de l'hiver qui ne manquera plus de venir bientôt.

En automne, plantez les bulbes à fleurs, pour le printemps.

Le lundi, 23 septembre 2013. Posté dans blog

C’est le moment idéal pour créer des potées printanières pétillantes et surtout faciles à réaliser! Utilisez les bulbes à fleurs, tels que narcisses, jacinthes, tulipes, crocus... dans vos potées et jardinières printanières. Mariez-les à des fleurs saisonnières : pensées, violas, primevères, pâquerettes… ou encore à des plantes vivaces, qui prendront la relève des bulbes jusqu’à la mise en place de votre décor estival.

Le maître mot c’est l’anticipation car les bulbes à fleurs qui viendront égayer vos potées au printemps prochain doivent être plantés cet automne. Profitez donc de ces petits bulbes, peu onéreux pour renouveler votre décor à chaque printemps.

Des idées simples et variées pour réaliser des potées à petits prix qui égayeront vos balcons, terrasses et même rebords de fenêtre au printemps prochain.

Nos astuces pour des potées réussies Tout d’abord, choisissez vos contenants : pots, jardinières, vasques… en zinc, en bois, ou encore en terre cuite.

Osez avant tout l’originalité et la diversité.Utilisez par exemple de vieux arrosoirs ou des bassines en zinc que vous aurez préalablement percé pour le drainage. Disposez vos pots et bacs à différentes hauteurs pour animer votre décor et lui donner davantage de profondeur. Puis, le plus important, le choix des plantes : des bulbes, évidemment, auxquels vous pouvez ajouter des saisonnières : pensées, violas, pâquerettes, primevères qui fleurissent plus longtemps ou même des plantes vivaces et des graminées pour un effet plus durable.

Pour bien choisir vos plantes, il est important de considérer 3 critères :

- les périodes de floraison. Associez des bulbes à floraison précoce et tardive pour étaler les floraisons ou au contraire des bulbes qui fleurissent tous en même temps pour un effet spectaculaire ! Petite astuce : cultivez dans des bacs supplémentaires d’autres bulbes à floraison plus tardive qui viendront remplacer les bulbes défleuris de votre potée. Ainsi, vous prolongerez l’effet décoratif de vos potées et jardinières.

- les associations de couleurs. Êtes-vous plutôt camaïeu ? Adoptez des tons de rose ou de bleu. Ou plutôt contraste ? Associez alors un orange et un violet ! N’hésitez pas à jouer avec les couleurs. Pensez au blanc qui apporte toujours une note de douceur aux compositions.

- et enfin, la hauteur des plantes.

Pour les trios, prévoyez des plantes de 3 hauteurs différentes pour apporter du relief à votre composition. Pour les duos, vous avez 2 options : prendre des plantes de même hauteur mais en contraste de couleurs ou prendre des plantes hautes avec à leur pied des fleurs plus basses (tulipes et pensées par exemple).


Exemples de potées :

Potée n°1

Choisissez un pot haut en bois ou en zinc. Ici, le bois a été peint en bleu pour renforcer l’effet de contraste des floraisons.
Un mariage simple mais efficace qui permet la rencontre des tulipes orange et des pensées bleues. Variez les contenants et les associations de couleurs pour des potées originales.


Tulipe ‘Double Elite’
+
Pensée bleue

Potée n°2

Dans un pot en zinc haut, associez le rose de la jacinthe au centre de la composition au bleu des muscaris. Impossible de se tromper avec ce duo tout en douceur.


Jacinthe ‘Jan Bos’
+
Muscaris d’Arménie

Potée n°3

Trio champêtre ! Tulipes blanches ‘Eternel’ ou ‘Désir’, pâquerettes blanches et pour finir une touche de bleu avec les scilles.


Tulipe blanche 'Eternel'
+
Pâquerettes pomponettes blanches
+
Scilles de Sibérie

Potée n°4

Ici, une idée originale associant des pensées, des jacinthes, des pâquerettes roses à des narcisses jaunes qui illuminent l’ensemble.


Pensées à macules
+
Jacinthes
+
Pâquerettes pomponettes roses
+
Narcisses jaunes

Autres idées d’association :


Muscaris
+
violas blanches

Narcisses Hawera
+
pensées Prim’up ‘Felix Jean’

Narcisses Thalia
+
pâquerettes pomponettes rouges


Tulipes botaniques Chrysantha
+
Narcisses Tête à Tête
+
pensées rouges à macule

Conseils pratiques pour la réalisation de vos potées :

1 – Assurer un bon drainage : trou au fond du bac et couche de graviers ou de billes d’argile sur environ 3cm.
2 – Recouvrer les billes d’une couche de terreau léger (mélange de terreau et de compost).
3 – Planter vos bulbes entre septembre et décembre puis compléter de terreau. Il est conseillé de planter les bulbes (pointe en l’air pour la plupart) à une profondeur égale à 2 fois et demi leur hauteur.
Plantez vos bulbes par strates : les bulbes les plus volumineux au fond sur un lit de terreau, puis les moyens et enfin les plus petits en quinconce au dessus.
4 – Ajouter, éventuellement, des bisannuelles (pensées, pâquerettes…) ou des plantes vivaces à l’automne ou au printemps.
Un apport d’engrais est généralement inutile pour les bulbes. Pensez-y toutefois si vous ajoutez des plantes vivaces et saisonnières. Bon à savoir, les bulbes redoutent les excès d’humidité.